Pas le son de ta voix
Pas les minuscules poils presque invisibles sur ta joue
Pas cette expression sur ton visage
lorsque tu m’as dit « je t’aime » pour la première fois
Pas les Quatuors à cordes de Bartók
qui te font grincer les dents
Pas tes chevilles sur le bord de la table à café
Pas l’odeur piquante de ton con repu d’amour
Ni le fin hâle de sueur sur ton épaule
le matin quand tu dors encore
Ni ta timidité, ni tes audaces démentes
Ni même le velours de tes lèvres
Seulement le goût de tes larmes.
Ouiiiii! Et ça fait du bien de lire les mots du sexe.
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J’ai tout lu. Tous les «poèmes». Je suis soulé de vos mots comme je me soule de nymphe pour oublier la désespérance qui attise ma folie entre deux chansons de Ferré. Merci!
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